

Qui sommes-nous
Voici plus de 120 ans que notre famille travaille la vigne sur les terres de Pomport au cœur de l’appellation Monbazillac.
Plus d’un siècle que se transmet millésime après millésime l’amour pour cette terre et que nos vins s’enrichissent année après année des mille secrets glanés par 5 générations de vignerons.
Notre histoire, c’est celle d’une famille de passionnés, attachée depuis toujours à développer son domaine pour acquérir les meilleures parcelles et produire les meilleurs Bergerac et les meilleurs Monbazillac, du noyau originel de 4 hectares aux 92 hectares d’aujourd’hui.
« Le fondateur », sans lui Grange Neuve n’existerait pas. C’est lui qui en 1896 racheta la propriété de Grange Neuve qui faisait alors un peu moins de 4 ha. Auparavant ouvrier agricole au château Haute Fonrousse, il acquiert les connaissances nécessaire pour installer son vignoble. La propriété restait tout de même en polyculture ; blé, pommes de terre, arbres fruitiers, bovins, cochons et basses cour complétaient les productions de l’exploitation. Pierre était un fonceur et un bon vivant. Il était connu pour ses « accueils arrosés » et son tricycle conçu avec des roues de grand bi. N’oublions pas Marie, sa femme surnommé Angéline qui devait avoir bien du courage pour supporter un homme aussi « vivant ». Ils eurent 3 enfants, Emma, Eusèbe et Emilie.
« Le fondateur », sans lui Grange Neuve n’existerait pas. C’est lui qui en 1896 racheta la propriété de Grange Neuve qui faisait alors un peu moins de 4 ha. Auparavant ouvrier agricole au château Haute Fonrousse, il acquiert les connaissances nécessaire pour installer son vignoble. La propriété restait tout de même en polyculture ; blé, pommes de terre, arbres fruitiers, bovins, cochons et basses cour complétaient les productions de l’exploitation. Pierre était un fonceur et un bon vivant. Il était connu pour ses « accueils arrosés » et son tricycle conçu avec des roues de grand bi. N’oublions pas Marie, sa femme surnommé Angéline qui devait avoir bien du courage pour supporter un homme aussi « vivant ». Ils eurent 3 enfants, Emma, Eusèbe et Emilie.
« Le fondateur », sans lui Grange Neuve n’existerait pas. C’est lui qui en 1896 racheta la propriété de Grange Neuve qui faisait alors un peu moins de 4 ha. Auparavant ouvrier agricole au château Haute Fonrousse, il acquiert les connaissances nécessaire pour installer son vignoble. La propriété restait tout de même en polyculture ; blé, pommes de terre, arbres fruitiers, bovins, cochons et basses cour complétaient les productions de l’exploitation. Pierre était un fonceur et un bon vivant. Il était connu pour ses « accueils arrosés » et son tricycle conçu avec des roues de grand bi. N’oublions pas Marie, sa femme surnommé Angéline qui devait avoir bien du courage pour supporter un homme aussi « vivant ». Ils eurent 3 enfants, Emma, Eusèbe et Emilie.
« Le fondateur », sans lui Grange Neuve n’existerait pas. C’est lui qui en 1896 racheta la propriété de Grange Neuve qui faisait alors un peu moins de 4 ha. Auparavant ouvrier agricole au château Haute Fonrousse, il acquiert les connaissances nécessaire pour installer son vignoble. La propriété restait tout de même en polyculture ; blé, pommes de terre, arbres fruitiers, bovins, cochons et basses cour complétaient les productions de l’exploitation. Pierre était un fonceur et un bon vivant. Il était connu pour ses « accueils arrosés » et son tricycle conçu avec des roues de grand bi. N’oublions pas Marie, sa femme surnommé Angéline qui devait avoir bien du courage pour supporter un homme aussi « vivant ». Ils eurent 3 enfants, Emma, Eusèbe et Emilie.
« Le fondateur », sans lui Grange Neuve n’existerait pas. C’est lui qui en 1896 racheta la propriété de Grange Neuve qui faisait alors un peu moins de 4 ha. Auparavant ouvrier agricole au château Haute Fonrousse, il acquiert les connaissances nécessaire pour installer son vignoble. La propriété restait tout de même en polyculture ; blé, pommes de terre, arbres fruitiers, bovins, cochons et basses cour complétaient les productions de l’exploitation. Pierre était un fonceur et un bon vivant. Il était connu pour ses « accueils arrosés » et son tricycle conçu avec des roues de grand bi. N’oublions pas Marie, sa femme surnommé Angéline qui devait avoir bien du courage pour supporter un homme aussi « vivant ». Ils eurent 3 enfants, Emma, Eusèbe et Emilie.
« Le fondateur », sans lui Grange Neuve n’existerait pas. C’est lui qui en 1896 racheta la propriété de Grange Neuve qui faisait alors un peu moins de 4 ha. Auparavant ouvrier agricole au château Haute Fonrousse, il acquiert les connaissances nécessaire pour installer son vignoble. La propriété restait tout de même en polyculture ; blé, pommes de terre, arbres fruitiers, bovins, cochons et basses cour complétaient les productions de l’exploitation. Pierre était un fonceur et un bon vivant. Il était connu pour ses « accueils arrosés » et son tricycle conçu avec des roues de grand bi. N’oublions pas Marie, sa femme surnommé Angéline qui devait avoir bien du courage pour supporter un homme aussi « vivant ». Ils eurent 3 enfants, Emma, Eusèbe et Emilie.
« Le fondateur », sans lui Grange Neuve n’existerait pas. C’est lui qui en 1896 racheta la propriété de Grange Neuve qui faisait alors un peu moins de 4 ha. Auparavant ouvrier agricole au château Haute Fonrousse, il acquiert les connaissances nécessaire pour installer son vignoble. La propriété restait tout de même en polyculture ; blé, pommes de terre, arbres fruitiers, bovins, cochons et basses cour complétaient les productions de l’exploitation. Pierre était un fonceur et un bon vivant. Il était connu pour ses « accueils arrosés » et son tricycle conçu avec des roues de grand bi. N’oublions pas Marie, sa femme surnommé Angéline qui devait avoir bien du courage pour supporter un homme aussi « vivant ». Ils eurent 3 enfants, Emma, Eusèbe et Emilie.
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